Intervention Brève Et Saillante Les Jeux Sont Faits
Intervention brève et saillante
Les jeux sont faits
Ça sert à quoi de pleurer ?
Je viens de passer le cap de mes 38 ballais, je me suis offerte une bouteille de champagne pour moi toute seule.
En plus jai perdue mon emploi.
La boîte a fait faillite. 2016 employés de la même enseigne.
Pas un seul repreneur à lhorizon.
Je ne mempresse pas pour linstant de trouver un autre poste.
Voilà, deux cousines sinscrivent chez moi pour faire un stage obligatoire de 14 jours, imposé comme reconversion par une agence de pôle-emploi.
Deux chics nanas 18/20 ans que je voyais seulement aux fêtes familiales, jolis bouille.
Je leurs attribue la chambre damis, à droit de lentrée, à coté la 2ème salle de bain.
Nous sommes à Bordeaux ; lappartement je lai hérité de mes parents.
Au troisième jour, sensé dêtre ailleurs, je suis rentrée sur la pointe de mes pieds.
La porte de leur chambre ouverte, jai fus surprise par leur étreinte lesbienne houleuse.
Plutôt connue comme une croqueuse de bite, jétais ébahie par cette scène. Jai restais figé au pas de la porte, voir ce magnifique cunnilingus qua la plus âgée donnait à la cadette
ébahie par la tendresse qui fusait dans la pièce
surprise les découvrir en lesbiennes
étonnée de tant de remues dans mon bas ventre.
Les gémissements ont été martelant dans ma tête dhétéro
mais jamais une femme mavait encore touchée de telle sorte
Il va de soit que jai du retenir ma mouille qui commençait à sécoule au long de mes cuisses.
Entendre ses cris de bonheurs
voir cette beauté de vulve offerte à lassouvissement.
Des frissons parcouraient mon corps.
Lainée se caressait, les deux avaient leurs intimités épilées, lèvres charnues
elles clamaient malgré lemploi, linnocence pure
une scène de très grande beauté et aphrodisiaque, exaltante
Elles eussent à peine surprises, me découvrant, me faisaient signe dentrer
elles meffeuillent à leurs égale, me couchant sur le lit, écartant mes jambes
leurs langues parcouraient mon corps
des nouvelle sensations souvrent à moi
impensable bonheur, une langue chaude simmisçait dans mon antre
oh mon dieu
jai fus portée aux cieux.
Mots inutiles.
Létreinte angélique, saphique honorant maccapare
éteignant mon jugement aveugle auparavant
bon dieu, pourquoi mai je refusé à un tel bonheur
Pourquoi seulement ? Pourquoi, pourquoi ?
Elles eussent données, transmettre tous les secrets façonnés, anatomie semblable à découvrir, dont seule une femme y parvint
Jaurai voulu me donner une baffe pour ma stupidité, davoir passé 38 ans dans lignorance totale
passée à coté cette victoire dassouvissement ahurissante.
Et cette grandeur de tendresse qui laccompagne, rien avoir avec une bite cinglante.
Je men voulais à mort, ma clapette de vulve a été pourvue par deux bouches savantes, jai profitais et laissais aller, mains, langues dexpertes, démonstratrices zélées, avérées
je leurs chantais plaisirs
mon dieu, mon dieu
javais le vertige !
Toutes bonnes choses prennent fin un jour. Mes cousines ont fini leurs stages et elles sont parties. Promesses échangées
on va se revoir
cest sûr !
Quoi quil arrive, quelles se marient, quelles aient des s
Ma chambres damis leurs reste ouvertes
quoi quil arrive !
Après mon expérience avec mes démonstratrices, je me suis calmée, mais je cherche un défi tranquillement. Cette fois au masculin ! Je my emploi !
Mes attribues féminine mont été mises à durs épreuves, ma façon gourmande de me donner en spectacle, ne restait pas inaperçu.
Jai pu relever en plein bistro cinq gaillards en train de jouer aux cartes. Je me suis approché deux :
- Les jeux sont faits ? Il ny a rien à boire dans cette boîte les gars !
En disant ça, jai tiré la tête du premier dans mes nibards, les autres gueulaient la jalousie.
Dun coup je me vois soulevé et projeté sur la table, les cartes giclaient au sol, ainsi leurs cannettes. Personne dautre dans la salle, à part le patron. Ça en fait six !
Jai eu droit aux insultes salasses qui me chauffaient à bloc.
- Cest tout ce que vous avez à dire les loubards, il ny a pas un vrai mec parmi vous ?
Mon insulte a réussi, les six ont commences à me départager. Mes habilles volaient dans tous les coins de la salle. En une minute, mon corps ainsi libéré de toutes contraintes se voyait devenir leurs nouveaux jeux. Sentir les mains fouilleuses ne faisait quaiguiser mon appétit vorace de gourmandises. Chaque nichon départagé entre deux suceurs, un qui se roulait une pelle avec ma langue, un quatrième et cinquième qui se partageait ma grotte à bites et clitoris, le sixième se branchait sur mon ptit trou. Jai fus soulevé et masturbé par tous mes orifices, je maccrochais à deux têtes. Je sais que cest du délire
du fantasme,
. Eh ben, je lai eu. Je lai eu par mérite ! Les gaillards mont pourvus tous ce quon peut simaginer. Une main dominatrice semparait de la vulve, enfournait la main en entière dans ma cave, un museau embouchait mon clitoris, lui faisait voir toutes les couleurs et létriquer du cul en faisait plus que son devoir. On dirait quils étaient en train de me démonter, pièce par pièce. Au bout de trois minutes jai chantais une Arie
leurs entrains samplifiaient fur et à mesure que jimitais « la reine de nuit » de la Flute enchantée
- Alors, cest pour quand, faites-moi voir vos flutes, sortez-les
niquez-moi, pauvre imbéciles !
Ils tiraient au sort, celui qui a las, était gagnant. Jai eu le poireau de las, oh quel bonheur de se faire repousser la matrice par un chibre bastonneur de taille. Il navait quà faire schloffe- schloffe comme dans du beurre, le marécage était à lui.
Jaurais voulu que les six entre en moi, mais le bon-dieu, ne la prévu guère ! Dommage ! De temps à autre, ils mon fait ingurgiter cul-sec un ptit verre de la grappa pour me rendre plus docile. Eh ben, non, cétait le contraire, jastiquais deux gourdins à tous de rôle, je les ai sailli, dautre sinstallèrent. Un gars cest assis sur une chaise, sans ménagement aucun autre quun crachat dans la main, il mépousait lintestin, un autre pilonnait ma clapette.
Le premier qui ma cinglé se faisait relayer de suite par le prochain. Les bites à branler faisaient le tour. Soudainement on me tire la tête à hauteur de la table, sans demander, un braquemart senfilait dans mon gosier, écrasant la luette grave. Ce nest pas vraiment ma bouche qui a trinquée, mais cette colonne dune longueur à plus en finir, sattaquait directement à mon sophage. Leffluve saillant gigantesque à failli m. Jai fus vite redressé et ré-oxygénée pour leurs assauts puissent continuer.
Oui, mon bonheur fut comblé, mes trois trous ont été abusés, selon mes envies, les plus hallucinantes.
Je suis rentré dans ce bistro malfamé à 14heures. Il est 15heures passés et je nai pas encore vu lhombre la mi-temps arrivée. Le patron, par précaution, avait fermé létablissement, pas seulement coté public, aussi coté privé ! Va savoir à quoi ça sert ! Il a peut-être une bourgeoise quil attend de lautre coté.
Je ne me suis pas trompé de bistro, ça fait quelques jours que je lobserve du coté café en face. Il me fallait des baraques, des costaux pour mon entreprise. Ma cible était bonne, avérant payante !
Je me baigne dans la nostalgie. Oui, il ya de quoi décrire ses mémoires. Mon aventure saphique est bien ancrée dans ma tête. Jen ai envie dune nouvelle. Puisque jai été initiée en pluriel
il ny a que ça !
Jai la vue sur une voisine petite bombasse- brune, divorcée sans s, 1m70, bien proportionnée, beau visage, il me semble très chaude, vue son regard qui plonge chaque fois dans mon décolleté quand je la croise. Apparemment sans attaches.
Il faut dire que mes lo-loches pèsent à un seul bien 4/5 kg sur une balance ; elle a à peine un peu moins, mais bien droit.
Maintenant que je suis ouvert à gouiner
elle, pour moi cest acquit.
Mais il me faut de laccompagnement ! Il me faut la jeunesse !
Je vais roder un peu dans le quartier de luniversité
à linternationale, oui !
Une suédoise peut-être
et une Latina, ça me plairai !
Jai trouvé une étudiante, mais qui savérait « gagnante » pour arrondir ses fins de mois.
Jai téléphonée, elle ma demandée mes mensurations, en est daccord de passer à lessaie, fin de semaine.
En rentrant, je tombe sur cette fameuse voisine. On prend lascenseur ensemble, ses yeux rivés sur mes nichons. Jai pris sa tête et jai plongé son visage dans mes atouts bustier.
Comme javais prédis, affaire réglé, elle me suit dans lappartement. Quand elle en est sortie comblée, la Conchita ma laissé ladresse de sa nièce de son bord : gouine, blonde, coquette, jolie, bon, que 18 ans, quelle chaperonnait. Il faut juste la chercher à 10 km, et à loccasion ramener, pour les excuses ma Conchita, sen occupe. Voilà mon quatuor est constitué.
Jai lintension de passer de défi en défi. Ça me convient. Ça me chausse !
Je vais faire de moi une qualité bordelaise appréciée par des connaisseurs/euses, dun genre de cépage nouveau !
PS : Presque tout est pure fiction, presque
Bises, le Gouineur pour vous divertir
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